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[ Test ] Astro Boy : Omega Factor / GBA

Si la version PS2 avait pu décevoir la plupart des aficionados de la série, cet épisode a su changer la donne et se présente aujourd’hui comme un titre incontournable à posséder absolument ! 😀

Scénario :

Tobio, jeune fils du professeur Tenma décéde brutalement d’un accident de voiture. Ce dernier rongé par le désespoir et la tristesse décide de créer un robot à l’image de son fils qui n’est plus… Malheureusement celui-ci ne remplacera pas son fils et finira par être délaissé puis recueilli par le professeur Ochanomizu,qui lui donnera de nombreux pouvoirs, Astro Boy est né ! Un scénario profond qui n’a pas été bâclé, et qui se construit niveau après niveau grâce aux personnages rencontrés. 🙂

         

Réalisation :

Même si la plupart du temps les jeux de plateforme s’appuient sur la qualité de gameplay et oublient un peu le reste, on sent bien qu’ici, les équipes de chez Sega n’ont pas chômé. Background fourni et détaillé, clin d’oeil jeux video ludique, la ville de  » Metro City «  dans laquelle vous débuterez offre déjà un certain plaisir visuel, mais c’est en parcourant les différents mondes que vous découvrirez le travail fourni . Astro et les autres n’ont pas pour autant été délaissés. Si vous étes fan de gros sprites qui remplissent votre écran ou sur d’autres où une loupe vous sera nécessaire pour les apercevoir, alors vous allez être servis. Les boss sont gigantesques et les ennemis basiques peuvent atteindre jusqu’à quatre fois votre taille. Autant vous dire que l’on se sent parfois tout petit ! 😕

Jouabilité :

Reposant sur la multitudes des touches de la console, la jouabilité se veut trés riche. Pas moins de huits actions dont six attaques différentes, on se croirait presque dans un Street Fighter :mrgreen: . Saut, jet, blast, mitraillette, vous pourrez jouir de votre force en enchaînant une multitude de combots pour venir à bout de vos ennemis. Ajouté à cela des phases de shoot, qui diversifient le gameplay mais restent néanmoins beaucoup trop répétitives. 😥

         

Durée de vie :

Comptez deux bonnes heures en ligne droite pour parvenir à bout des 32 niveaux proposés pour la trame principale. Ceci-dit, s’il vous venait à l’idée de clôturer le jeu a 100%, vous devrez redoubler d’effort puisqu’il vous faudra compter huit petites heures supplémentaires. De plus, le soft bénéficie d’une replay value énorme. Armes à upgrades, personnages à collectionner, niveaux à débloquer, vous aurez de quoi faire ! De plus, une fois que vous aurez bouclé le jeu intégralement vous aurez la possibilitée d’incarner Sharaku Hosuke ( boss final et grand méchant du jeu ) Amusant non ! . Une durée de vie hors norme pour un titre plateforme qui date tout de même de 2005 (ça ne nous rajeunit pas… 🙄 )

Bande son :

Tout comme la réalisation, la bande-son produite par Tsuyoshi Kaneko est tout simplement fameuse, son d’ambiance des menus, musiques trépidantes des boss, la bande-son joue un rôle important dans l’immersion du jeu. Rien à redire sur ce point même si l’on pourrait lui reprocher le fait qu’elle ne reste pas longtemps dans nos esprits. 😳

Conclusion :

Bien que les mauvaises langues puissent lui trouver quelques défauts, je peux vous l’assurer Astro Boy : Omega Factor est non seulement l’un des meilleurs titre de la GBA mais restera ancré dans nos mémoires pour longtemps. Heureusement tout de même qu’il fût sorti sur nos petites consoles, car quand on connait le passé assez foireux de l’adaptation de la célèbre série de Tezuka sur console, on est heureux que ce titre ait su corriger le tir et remettre Astro au devant de la scéne… Tout du moins pour quelques années 😈 . Un titre grandiose en avance sur son temps !

Note : 17/20

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1 Comment

  1. J’aimeuh !

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